"La tortue rouge"

Un film d'animation dans lequel pas une parole n'est prononcée; pourtant la bande-son est majestueuse et renforce encore le plaisir visuel.

C'est beau, c'est touchant, c'est intelligent. A voir ! 

Thème exposé: * * * 

Emotion: * * *  

Esthétique: * * * * *

                                     

Pour en savoir un peu plus, un peu de lecture :

" La Tortue rouge " : une robinsonnade sans paroles

Séduit par son travail, le grand maître japonais l'a poussé à développer cette Tortue rouge qui traînait depuis un moment dans un coin de son esprit. Les sociétés françaises Wild Bunch et Why Not et le studio Prima Linea se sont joints à la maison de Totoro pour produire le film, qui a été présenté en mai à Cannes, dans la section Un certain regard.

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"La Tortue rouge", de Michaël Dudok de Wit : un somptueux conte écolo cosigné Ghibli

Prix spécial à Cannes, dans la section Un certain regard, "La Tortue rouge" nous embarque sur une île déserte pour nous laisser fascinés sur son rivage. Tout commence par une tempête en haute mer. Des vagues géantes déploient leur fureur, envahissent l'écran. Immersion totale.

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"Tortue" géniale

Après la surprise émerveillée, la semaine dernière dans la section de l'Acid, du dessin animé la Jeune Fille sans mains de Sébastien Laudenbach, les derniers feux du Festival permettent de découvrir la Tortue rouge, une splendeur assez curieusement dissimulée dans la sélection Un certain regard, qui n'a vraiment pas brillé cette année.

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La Tortue rouge: "Je voulais une qualité de silence"

Vivant et travaillant à Londres, le Néerlandais Michaël Dudok De Wit, 63 ans, est francophone et épris de culture asiatique (il a multiplié les voyages au Japon, en Corée du Sud ou en Chine). L'homme est discret, calme, on le décrit comme un control freak, un perfectionniste qu'aucune pression ne peut empêcher de revoir sa copie aussi longtemps qu'il l'estime nécessaire.

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